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Shushe

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Shush : Une Fenêtre sur l’Histoire Ancienne de l’Iran

Contexte Général
Shush, située dans la province du Khuzestan au sud-ouest de l’Iran, est une ville d’une importance historique exceptionnelle. Elle est le chef-lieu du comté de Shush et se trouve à proximité immédiate du site archéologique de l’ancienne Suse, l’une des plus anciennes cités du monde, datant d’environ 4000 av. J.-C. Aujourd’hui, Shush constitue un pont vivant entre le passé et le présent, offrant aux visiteurs une immersion fascinante dans les civilisations anciennes de l’Iran.

Histoire et Archéologie
Suse fut la capitale du royaume élamite pendant près de deux millénaires, avant de devenir la capitale d’hiver de l’empire achéménide sous Darius Ier. Le vaste site archéologique s’étend sur environ 400 hectares, révélant les vestiges de différentes époques : le palais d’Apadana, la porte Est, le palais Shavur, et l’Acropole.

Ces couches archéologiques couvrent une période qui s’étend du Ve millénaire av. J.-C. jusqu’à l’ère islamique. L’inscription de Suse au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015 atteste de sa valeur universelle exceptionnelle.

Population et Géographie
En 2021, Shush comptait environ 79 000 habitants, marquant une progression notable par rapport aux recensements précédents. La ville s’étend sur 5 à 6 km² et est située à environ 110-115 km au nord-ouest d’Ahvaz, capitale provinciale. Son climat est typique des zones semi-désertiques : des étés très chauds avec des températures pouvant dépasser les 50°C, et des hivers doux et secs.

Économie et Société
L’économie de Shush repose principalement sur l’agriculture, notamment la culture du blé, de l’orge et de la canne à sucre. Sa position stratégique au croisement de la ligne ferroviaire trans-iranienne et de routes principales favorise également le transport et les échanges commerciaux.

Le tourisme constitue une autre source importante de revenus, attiré par la richesse archéologique de Suse, les monuments sacrés et les mausolées, comme ceux du prophète Daniel et de Debel Khozaei. La population est culturellement diverse, composée de Perses, d’Arabes, de Lors, et de communautés religieuses chiites et sunnites.

Sites à Ne Pas Manquer
Vestiges de Suse : un palimpseste de civilisations millénaires
Le site archéologique de Suse, situé dans l’actuelle province du Khouzistan en Iran, est l’un des plus riches et anciens du Moyen-Orient. Occupé de façon continue pendant plus de cinq millénaires, il offre une lecture stratigraphique unique de l’évolution des grandes civilisations du Proche-Orient ancien — des Élamites aux Achéménides, en passant par les Sumériens, les Babyloniens et les Parthes.

L’Apadana : la salle d’audience royale de Darius Ier
L’Apadana de Suse fut construite sur l’ordre de Darius Ier, roi de l’Empire achéménide, au début du Ve siècle av. J.-C., en parallèle avec son équivalent à Persépolis. C’était une vaste salle d’audience cérémonielle, destinée à recevoir les délégations des satrapies et les émissaires étrangers.

L’architecture de l’Apadana reposait sur un plan carré, soutenu par des colonnes massives en pierre, dont certaines bases décorées sont encore visibles sur le site. Ces colonnes atteignaient probablement plus de 20 mètres de hauteur et étaient surmontées de chapiteaux en forme de taureaux ou de griffons opposés, emblématiques de l’esthétique achéménide.

L’intérieur était orné de frises en briques émaillées représentant des processions de dignitaires tributaires, des archers perses, des lions stylisés et d’autres symboles impériaux. Ces décorations, conservées en partie au Louvre, témoignent de l’universalité et du prestige de l’Empire achéménide, ainsi que de sa maîtrise des arts décoratifs.

L’Acropole : un cœur administratif et défensif multi-époques
L’Acropole de Suse surplombe le reste du site antique depuis une éminence naturelle aménagée en terrasse. Elle servit à diverses époques de centre politique, religieux et militaire, en fonction des puissances dominantes.

Les fouilles ont mis au jour une superposition de couches archéologiques extrêmement riches, s’étendant de l’époque proto-élamite (fin du IVe millénaire av. J.-C.) jusqu’à l’ère parthe (IIe siècle av. J.-C. – IIIe siècle apr. J.-C.). On y trouve notamment :

  • Des temples sumériens primitifs,
  • Des fondations de bâtiments élamites en briques crues,
  • Des structures palatiales perses,
  • Et des réaménagements hellénistiques et parthes.

L’Acropole abrite également les vestiges du Château de Shush, construit à la fin du XIXe siècle par Jacques de Morgan, qui y installa sa base pour les fouilles archéologiques françaises. Ce bâtiment médiéval surplombant les ruines antiques est à la fois un symbole d’étude scientifique et un exemple des tensions entre conservation et transformation patrimoniale.

Les portes monumentales : seuils du pouvoir et de l’identité urbaine
Bien que les structures complètes aient pour la plupart disparu, des vestiges de portes monumentales subsistent, notamment à l’entrée des grands ensembles palatiaux. Celles-ci jouaient un rôle à la fois défensif, rituel et symbolique.

Des fragments de bas-reliefs et des décors en briques vernissées, semblables à ceux retrouvés à Babylone, permettent d’imaginer l’aspect majestueux de ces accès. Ces portes contrôlaient l’accès aux quartiers royaux, aux temples, ou encore à la zone de l’Apadana, soulignant l’importance de la hiérarchie spatiale dans la planification urbaine achéménide.

Les palais royaux : splendeur impériale et architecture cérémonielle
Outre l’Apadana, plusieurs palais achéménides ont été identifiés sur le site, notamment le Palais de Darius Ier, qui faisait partie d’un complexe plus vaste incluant jardins, cours intérieures, appartements royaux et salles d’audience.

Les fouilles ont mis au jour :

  • Des fragments de colonnes cannelées,
  • Des dalles gravées en vieux perse, élamite et babylonien (trilinguisme achéménide),
  • Des objets de prestige en or, argent, ivoire et faïence,
  • Et des éléments décoratifs raffinés (chapiteaux zoomorphes, linteaux sculptés, mosaïques).

Le raffinement architectural témoigne d’une volonté de magnifier la puissance impériale tout en intégrant des savoir-faire artistiques issus des provinces de l’empire. Ces palais illustrent également la permanence de Suse en tant que capitale administrative majeure, aux côtés d’Ecbatane, Persépolis et Babylone.

Une cité en strates : l’héritage complexe de Suse
Suse apparaît ainsi comme un site archéologique stratifié, reflet vivant de plus de 5 000 ans d’urbanisme, de culture et de pouvoir. Chaque vestige, chaque mur effondré, chaque fragment de colonne, raconte une phase différente de cette histoire millénaire.

À la fois capitale régionale, centre religieux, nœud commercial et cité impériale, Suse résume à elle seule les transformations du Proche-Orient ancien. C’est cette richesse historique et archéologique, accumulée couche après couche, qui fait du site un véritable trésor du patrimoine mondial.

Chogha Zanbil
Située à environ 45 km au sud-est de Shush, Chogha Zanbil est une ziggurat exceptionnelle construite vers 1250 av. J.-C. par le roi élamite Untash-Napirisha.
  • Une architecture religieuse unique : D’une hauteur initiale de plus de 50 mètres, cette pyramide à étages est faite de briques crues et cuites, dédiée aux divinités Inshushinak et Napirisha.
  • Un site UNESCO : Classé dès 1979, Chogha Zanbil est l’un des plus anciens complexes religieux d’Iran, témoignant du raffinement élamite.
  • Enceintes et sanctuaires : Le site est entouré de plusieurs enceintes protectrices, temples secondaires et bâtiments rituels. Les briques portent des inscriptions en élamite, apportant des renseignements précieux sur la langue, la théologie et l’urbanisme religieux.

Tombeau du Prophète Daniel
Ce mausolée est l’un des lieux spirituels les plus visités de la région, honoré par plusieurs religions.

  • Un pèlerinage interconfessionnel : Daniel, prophète biblique, est vénéré à la fois par les musulmans, les chrétiens et les juifs. Selon la tradition, sa dépouille aurait été transférée à Suse après la chute de Babylone.
  • Architecture remarquable : Le tombeau est surmonté d’un dôme conique en spirale recouvert de tuiles blanches, typique de l’architecture religieuse locale. À l’intérieur, la tombe est décorée de tissus votifs et de messages de prières.
  • Rôle symbolique : Le site attire des milliers de pèlerins chaque année. Il est un symbole de tolérance religieuse et de patrimoine partagé entre cultures et croyances.

Le Château de Shush (Château de Suse)
Un fort médiéval français au cœur des ruines millénaires de l’ancienne cité de Suse

Le Château de Shush, aussi appelé Château de Suse ou « Acropolis Castle », est un édifice historique unique situé sur le site archéologique de Suse, dans la province du Khouzistan, au sud-ouest de l’Iran. Il fut construit à la fin des années 1890 par l’archéologue et ingénieur français Jacques Jean Marie de Morgan (1857–1924), alors à la tête de la Délégation archéologique française en Perse. Cette forteresse étonnante, de style médiéval européen, domine un site millénaire fondé à l’époque élamite, témoignant d’un paradoxe architectural et historique saisissant.

Contexte historique et archéologique
Suse est l’une des plus anciennes cités du Proche-Orient, fondée il y a plusieurs millénaires. Capitale de la civilisation élamite, puis ville importante sous domination mésopotamienne et perse, elle a livré de nombreuses découvertes majeures. Les fouilles archéologiques menées à partir de la fin du XIXe siècle, notamment sous la direction de Jacques de Morgan, ont profondément marqué l’histoire du site.
Face à des conditions de travail difficiles, à des enjeux de sécurité et à la nécessité de stocker les objets exhumés, de Morgan fit ériger une citadelle inspirée des forteresses françaises médiévales, en utilisant des matériaux issus des vestiges antiques eux-mêmes, tels que le palais d’Artaxerxès II ou le ziggourat de Chogha Zanbil.

Architecture et vocation du château
Un style médiéval importé

Le Château de Shush adopte une architecture rappelant les forteresses françaises médiévales, avec des tours, créneaux et murs épais. Cette silhouette européenne contraste fortement avec l’environnement mésopotamien et les ruines élamites qui l’entourent.

Matériaux et construction
La pierre utilisée provenait en partie des monuments antiques de la région. Cette pratique, fréquente à l’époque, est aujourd’hui critiquée, car elle a contribué à la dégradation de structures historiques uniques.

Fonctions principales
Le château remplissait plusieurs fonctions essentielles :
  • Résidence sécurisée pour les archéologues français.
  • Centre scientifique pour l’étude des objets découverts.
  • Entrepôt pour la conservation des artefacts.
  • Poste de commandement logistique pour les vastes campagnes de fouilles.

Aujourd’hui, le château est un musée et un site touristique visité par les passionnés d’histoire, d’archéologie et d’architecture.

Le château dans le cadre des découvertes archéologiques
Les fouilles dirigées par de Morgan à Suse sont considérées comme des fouilles « industrielles », marquées par des tranchées profondes et larges, destinées à atteindre rapidement les couches les plus anciennes.

Une approche spectaculaire : des découvertes majeures malgré les limites méthodologiques
Malgré les critiques entourant ses méthodes de fouilles, Jacques de Morgan a permis la mise au jour de plusieurs artefacts exceptionnels qui ont profondément marqué l’histoire de l’archéologie du Proche-Orient. Ces pièces, aujourd’hui emblématiques, témoignent de la richesse des civilisations ayant occupé Suse pendant plusieurs millénaires.

1.- L’obélisque de Manishtusu (vers 2250 av. J.-C.)
Découvert parmi les ruines mésopotamiennes, cet obélisque est attribué au roi Manishtusu, souverain d’Akkad et fils de Sargon d’Akkad. L’inscription cunéiforme qui le recouvre relate l’acquisition de vastes propriétés foncières dans le sud mésopotamien. L’intérêt de cette stèle réside non seulement dans son contenu administratif et juridique, mais aussi dans sa forme unique en obélisque — inhabituelle dans l’art mésopotamien, où les stèles à sommet arrondi étaient plus fréquentes.
Ce monument constitue une source précieuse sur les pratiques foncières, les structures sociales et les formes de pouvoir à l’époque des premiers empires akkadiens.

2.- La stèle de Narâm-Sîn (vers 2254–2218 av. J.-C.)
Probablement l’un des objets les plus célèbres de Suse, cette stèle fut ramenée comme butin à Suse après une conquête élamite de la Mésopotamie. Elle représente le roi Narâm-Sîn, petit-fils de Sargon, en majesté, gravissant une montagne, triomphant de ses ennemis. Ce bas-relief enregistre l’une des premières représentations d’un roi divinisé, portant un casque à cornes – attribut typique des dieux.
Le style artistique, avec ses lignes obliques, ses proportions dynamiques et l’absence de registres traditionnels, marque une rupture dans l’art mésopotamien et annonce une nouvelle manière de représenter le pouvoir.

3.- La statue de Napirasu (vers 1250 av. J.-C.)
Cette sculpture en bronze, d’une facture exceptionnelle, représente Napirasu, épouse du roi élamite Untash-Napirisha. L’œuvre, en grandeur presque réelle (1,29 m de haut), ne conserve que la partie inférieure du corps, les bras croisés sur l’abdomen, mais révèle une maîtrise technique impressionnante pour l’époque.
L’alliage complexe de bronze et de plomb, extrêmement dense, a exigé une coulée en une seule pièce — un exploit métallurgique remarquable. Son inscription cunéiforme maudissant quiconque oserait la déplacer atteste de sa fonction cultuelle et symbolique. La statue témoigne du raffinement de l’art élamite, longtemps sous-estimé par les premières générations d'archéologues.

41- La stèle du Code de Hammurabi (vers 1750 av. J.-C.)
Sans doute la découverte la plus célèbre réalisée à Suse sous la direction de de Morgan, cette stèle monumentale (2,25 m de haut), inscrite en akkadien cunéiforme, est l’un des plus anciens codes de lois connus au monde. Édictée par le roi babylonien Hammurabi, elle comporte 282 articles réglant les rapports sociaux, économiques, juridiques et familiaux.
En tête de la stèle figure une scène de grande importance symbolique : le roi Hammurabi reçoit l’autorité législative du dieu Shamash, assis sur un trône. L’iconographie renforce le caractère divin et légitime de la loi.
Transportée à Suse après une campagne militaire élamite (probablement sous le règne de Shutruk-Nahhunte), la stèle fut enfouie et préservée, pour être redécouverte en 1901. Elle est aujourd’hui exposée au musée du Louvre, à Paris.


Critiques et héritage : un paradoxe archéologique

Fouilles « industrielles » et perte des strates

Les méthodes de de Morgan sont aujourd’hui largement critiquées. En privilégiant les objets prestigieux, il a souvent négligé la stratigraphie — l’étude des couches successives du sol — ce qui a entraîné la perte irréversible d’informations sur la chronologie et l’organisation urbaine du site. Selon Jean Perrot :

« En sacrifiant la stratigraphie au profit de la découverte d’objets spectaculaires, de Morgan a causé une perte importante pour la compréhension globale du site de Suse. »

Un château au prix du patrimoine
La construction même du Château de Shush incarne ce paradoxe : symbole de protection et de recherche, il a pourtant été édifié en partie à partir de pierres extraites de monuments antiques, contribuant à la destruction partielle de ceux-ci. Comme l’affirme Fatemeh Ghassouli :
« Le château reste un symbole des tensions entre exploration archéologique et protection du site. »

Héritage controversé
Les fouilles ont aussi eu un impact durable sur l’archéologie iranienne. En détruisant des couches stratigraphiques importantes, elles ont limité la possibilité d’analyses fines ultérieures. Toutefois, Patrice Avitzur nuance ce jugement :

« Jacques de Morgan a ouvert la voie à l’étude scientifique du Proche-Orient, même si ses méthodes ne correspondent plus aux standards actuels. »

Jacques de Morgan : un savant multidisciplinaire

Né en 1857, diplômé de l’École des Mines de Paris, Jacques de Morgan fut un esprit curieux et polyvalent. Ingénieur, géologue, botaniste, ethnologue et archéologue, il mena des missions en Égypte, au Talyche et en Perse. Il est aussi à l’origine des termes Capsien et Mésolithique en archéologie.

Son œuvre à Suse constitue un moment charnière dans l’histoire de la recherche proche-orientale, même si ses méthodes sont aujourd’hui dépassées. Le château qu’il fit bâtir demeure l’un des témoins tangibles de cette phase pionnière de l’archéologie occidentale au Moyen-Orient.

En conclusion, le Château de Shush est plus qu’un simple édifice. Il incarne à la fois l’élan pionnier de l’archéologie occidentale en Orient, et les limites méthodologiques d’une époque fascinée par les objets spectaculaires. Véritable anomalie architecturale au cœur d’un site millénaire, il cristallise les tensions entre la recherche, la conservation et le respect du patrimoine.

Témoin physique d’un savoir en construction, ce fort médiéval français en terre iranienne reste aujourd’hui un lieu emblématique, chargé de mémoire et de controverses, au croisement de l’histoire, de l’archéologie et de la réflexion patrimoniale contemporaine.


Archéologie de Susa
Le site archéologique couvre cinq collines principales. Les fouilles ont révélé des artefacts datant de 6200 av. J.-C., dont des poteries décorées, des outils en métal, des cylindres-sceaux, des briques émaillées et des tablettes cunéiformes. Ces découvertes documentent l’évolution de l’écriture, de la religion, de la royauté et du commerce au fil des millénaires.

Histoire Religieuse et Pèlerinages
Le tombeau du prophète Daniel, accessible à pied depuis le centre historique, est ouvert à tous, gratuitement. Sa vénération est attestée dès le VIIe siècle apr. J.-C. Il reste aujourd’hui un lieu de prière très actif, visité par les croyants de différentes confessions.

Infos Touristiques Pratiques
Le musée archéologique de Susa, situé à l’entrée du site, présente quatre salles couvrant les grandes périodes de l’histoire locale. Le site archéologique est ouvert tous les jours sauf les jours fériés, avec des horaires qui varient selon les saisons. Il est recommandé de visiter en compagnie d’un guide local, en particulier en été, lorsque la chaleur peut être accablante.


Shush est un carrefour de civilisations, racontant 8 000 ans d’histoire — des Élamites aux Achéménides, en passant par les Parthes et les musulmans. C’est un lieu à la fois archéologique et spirituel, dont la richesse fascine aussi bien les passionnés d’histoire que les pèlerins en quête de sens. Grâce à son musée moderne et à son patrimoine bien balisé, Shush offre une expérience complète, vivante et profondément humaine.

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