Gabbeh (tapis) - Voyages en Iran – Pasargades

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Gabbeh (tapis)

Le Saviez-Vous?


A partir du Norouz 2024, le 20 mars à 4h 06min 26s, chaque semaine, dans cette rubrique dédiée à l'Iran et au voyage, nous explorons une variété de sujets inédits et captivants pour vous offrir une expérience immersive et enrichissante.

Que vous soyez passionné par :

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Nous vous invitons à plonger dans un univers riche en découvertes et en surprises, où chaque semaine apporte son lot d'explorations passionnantes sur cette terre empreinte de mystères et de merveilles.

Posez-nous vos questions et nous nous ferons un plaisir de les développer dans cette rubrique.




Le Tapis Gabbeh

Les motifs sont simples et pas spécialement détaillés. Toutefois, ce sont les plus célèbres tapis nomades d’Iran. Les tapis Gabbeh sont noués par les nomades de la tribu Ghashghai dans la province de Fars en Iran. Le matériel de base est de la laine filée à la main, qui est ensuite teintée avec des couleurs naturelles obtenues à partir de plantes et de minéraux. Les tapis Gabbeh sont relativement épais avec une épaisseur pouvant atteindre 2,5 cm.

En persan, Gabbeh signifie brut ou naturel. Le nom parfait pour ces tapis nomades, dont le design est limité à l’essentiel. On trouve souvent sur le tapis un simple motif de plante ou d’animal, comme des chameaux ou des arbres. Ces motifs sont inspirés de la vie quotidienne des nomades aux alentours.

Depuis quelques temps maintenant, cependant, les tapis Gabbeh sont souvent noués avec de petits et grands fonds très colorés. L’influence européenne est responsable de cette évolution. Actuellement, les tapis Gabbeh sont souvent imités par des industries indiennes, étant donné qu’ils sont devenus très connus et populaires dans le monde entier. C’est pourquoi il est nécessaire de faire attention à l’origine du tapis puisque les tapis persans Gabbeh ont clairement une meilleure qualité, sont plus soyeux et en même temps plus résistants à l’usage.


Pour les tapis Gabbeh, il existe différentes appellations supplémentaires qui dépendent du type du tapis : parmi ces appellations, on trouve notamment les noms Loribaft, Sumak ou Kashkooli. Ils diffèrent, par exemple, par l’épaisseur de leurs velours ou par la densité de leurs nœuds.

Les tapis des différentes villes d’Iran
Article de : Hamideh Haghighatmanesh

Les conditions géographiques, climatiques et culturelles ont conféré un style distinct aux tapis de chaque région de l’Iran.

La façon de vivre de l’être humain dépendant de divers éléments tels que le climat et la culture, ces éléments influencent donc aussi les productions de la société humaine. Les différents éléments d’un produit artisanat traditionnel comme le tapis entretiennent ainsi un étroit rapport avec les conditions de vie et l’esprit de son tisserand.

A titre d’exemple, le tapis dur, tissé avec de gros nœuds et des couleurs foncées, et comportant des motifs géométriques, est l’œuvre de tisserands en contact direct avec une nature rude et géométrique : la montagne. Une connaissance plus fine de ces motifs et matériaux permet théoriquement de localiser le lieu exact de tissage du tapis.

Cependant, aujourd’hui, le développement des moyens de transport et de communication a considérablement accru les diffusions de modèles et couleurs d’une région à l’autre. C’est ainsi que les motifs latchak et toranj de Mashhad et de Kermân sont venus orner les tapis de Tabriz.

Dans tous les cas, les tapis des diverses régions peuvent être très similaires autant que très différents selon leur lieu d’origine. Les différences sont à noter sur le type et la facture des nœuds, le plan du tapis, les types et la qualité des fils utilisés, le type de laine utilisé, etc.

Les tapis de Kermân
Kermân est une grande province désertique du centre-sud de l’Iran. Cette région possède de hautes montagnes au nord-ouest, mais le très aride désert de Lout qui la parcourt est à l’origine de la rareté des ressources hydrauliques et des terres cultivables.

La géographie rude de la région a donc poussé les habitants à diversifier leurs activités, auxquelles ils ont notamment ajouté depuis longtemps l’artisanat du tapis.

Cette province est depuis des siècles, et plus précisément avant même l’époque safavide, un centre important de tissage en Iran. Des vestiges d’un tapis tissé à Kermân il y a plus de cinq siècles, conservés au musée de l’Imâm Rezâ à Mashhad, témoignent d’une expérience de plusieurs siècles et d’un style déjà alors bien formé, notamment avec les nœuds typiques de la région.

D’après Javâd Yasaveli, c’est au XIXe siècle que le tissage de tapis devient une profession à Kermân, sous l’impulsion d’hommes d’affaires venus de Tabriz, alors centre de commerce international et pont vers les pays européens amateurs de tapis persans.

Le tapis de Kermân, qui a connu de nombreux hauts et bas au cours de son existence, se distingue par la finesse de son tissage et de ses motifs. Le nom de Kermân est synonyme de bon tapis, et les tapis tissés dans cette région ornent les musées du monde.

La majorité des tapis de Kermân ont une structure particulière, avec trois trames, c’est-à-dire qu’il y a trois trames visibles entre chaque raj. La première et la troisième trame sont épaisses mais la seconde est mince.

Il est possible de déterminer trois périodes majeures dans l’histoire du tapis de Kermân :

1- La première période ou l’ère du termeh (asr-e termeh) : cette période coïncide avec la décadence du tissage de châle (shâlbâfi). A l’époque, des commerçants de Tabriz ouvrent des ateliers à Tabriz, Hariss, Mashhad, Arâk, Kâshân et achètent notamment des tapis de Kermân en grand nombre, ce qui permet de développer l’activité du tissage dans la ville. Durant cette période, les dessinateurs et les artisans intègrent les motifs du châle de Kermân, notamment le motif du botteh jegheh (paisley).

2- L’ère du Retour (asr-e bâzgasht) : cette période, qui suit la Première Guerre mondiale, est une ère de retour aux dessins et motifs traditionnels. Les tisseurs de Kermân reprennent en particulier les motifs safavides, notamment l’eslimi, les fleurs Shâh-Abbasi, le toranj, le lachak, etc.

3- L’ère Gobelin : à la fin de l’ère du retour, la crise économique américaine et la chute des ventes ralentissent considérablement le dynamisme du secteur du tapis qui retombe dans une routine marquée par l’influence du style gobelin et des dessins sans originalité. C’est également durant cette période que le motif gol farang apparaît.

La réputation des motifs et dessins de Kermân est aussi due à l’utilisation de motifs très petits massivement étendus sur le fond du tapis, qui forment un plan chargé d’éléments. Selon certains spécialistes, l’usage généreux de motifs floraux pourrait être une compensation consciente ou inconsciente des habitants de Kermân, qui vivent dans une région où la flore est rare.

Concernant les dessins actuellement communs, les auteurs des livres (introduction sur la connaissance du tapis de l’Iran) et Farshnâmeh-ye Irân citent les motifs sabzikâr, goldâni, derakhti, boteh jegheh, lachak, toranj, gol farang, gobelin, shekârgâh et afshân. Ils sont aussi cités par les auteurs de l’ouvrage de référence Moghadameh-ye bar shenâkht-e qâli-e Irân (Introduction à la connaissance du tapis persan) comme étant les motifs communs des tapis de Kermân.

Les couleurs et les teintures font également la réputation du tapis de Kermân. Elles sont combinées en des ensembles forts et contrastés et les teintures, souvent végétales, sont stables.

En général, pour les tapis de qualité, au moins quinze couleurs sont utilisées, et ce nombre atteint trente pour les tapis de hautes qualités. En effet, les tapis de Kermân comptent parmi les plus diversifiés et les plus gais des tapis persans. Le pourpre foncé, le beige, le bleu clair et foncé, le rose, le vert clair et foncé, font partie des couleurs les plus utilisées dans ces tapis.

Les tapis de Tabriz

Les caractéristiques du tapis de Tabriz résident dans sa symétrie et sa finesse. Ses couleurs sont douces et accordées. Le tapis de Tabriz est délicat et considéré comme vide (pouk). Les dessins de ces tapis ne sont pas originaux, mais ils réunissent le meilleur des autres styles et régions.

Tabriz ne produit pas uniquement des tapis fins. Au sud de la région sont produits des tapis durs et revêches, au tissage grossier, aux couleurs foncées et aux motifs simples, linéaires et géométriques sans originalité particulière. Ce sont des tapis lourds et leur particularité est la durabilité.

Mais Tabriz reste quand même une ville de tapis fins, notamment de tapis en soie : le tapis gol-e abrisham ou Fleur de soie, le tamâm abrisham (intégralement en soie) et le chelleh abrisham dont le fil et la trame sont en soie et la surface en laine.

Le chelleh abrisham dure très longtemps et est sans doute l’un des meilleurs tapis persans. Le tamâm abrisham est sans égal dans son dessin et ses couleurs. Malheureusement, la génération des tisserands de ces types de tapis fins est en voie de disparition et ces tapis luxueux, très chers et difficiles à produire, se font plus rares.

Les tapis d’Ispahan
Les rois safavides, qui ont joué un grand rôle dans la renommée d’Ispahan, leur plus importante capitale, ont été les premiers à considérer le tapis comme un produit commercial et esthétique d’importance. Ils ont donc été à l’origine d’un mouvement de création d’ateliers de production, et ce tout d’abord dans leur propre capitale, Ispahan. De nombreux ateliers de tissage de tapis ouvrirent donc leurs portes à Ispahan au XVIe siècle sous l’impulsion notamment de Shâh Abbâs le Grand.

L’intérêt des rois safavides fit d’Ispahan la première capitale mondiale du tapis en tant qu’objet esthétique et commercial. Ispahan était l’un des centres les plus authentiques de tissage. De nombreux tapis anciens qui existent toujours aujourd’hui ont été tissés dans les ateliers de cette ville et datent de l’ère safavide. Les tapis de cette ère sont conservés dans des musées iraniens ou étrangers.

Ils sont remarquables par leurs matières premières luxueuses, leurs couleurs végétales très stables et les motifs alors originaux qu’ils sont les premiers à arborer. Après la chute des Safavides, le tissage du tapis déclinant dans cette ville, il perdit son statut pendant très longtemps. Mais l’ère safavide permit au tapis d’Ispahan d’imprimer définitivement sa griffe sur le tapis persan, avec notamment ses motifs aujourd’hui courants, qui sont l’œuvre des meilleurs artistes ispahanais de l’ère safavide. Citons parmi ces motifs le lachak, le toranj, l’eslimi, les fleurs Shâh-Abbâssi, le mehrâbi, le derakhti, le shekârgâh, etc.

Les motifs antiques et floraux dominent les dessins du tapis d’Ispahan. Les tisserands ispahanais sont également réputés pour l’usage de teintures naturelles et traditionnelles dans des mélanges et des compositions qui montrent un grand savoir-faire dans le travail des couleurs.

Aujourd’hui, les tapis d’Ispahan comptent toujours parmi les plus réputés d’Iran du fait de leurs couleurs, de leur qualité et deleur durabilité. D’aucuns diront que l’attachement aux méthodes et motifs traditionnels dans le tissage de ce tapis en fait aussi la force. Cependant, Ispahan étant sans conteste la capitale des artisanats fins iraniens, il est normal que le tapis aussi y soit un jour ou l’autre l’objet de nouveautés.

Les tapis de Mashhad

Le tapis est l’un des artisanats de valeur de la province du Khorâssân Razavi. Le tapis devient un produit commercial d’importance dans la région au XIXe siècle, en même temps que dans d’autres villes telles que Kermân ou Kâshân. Le développement de cet artisanat se fait sous l’impulsion de marchands de Tabriz, qui ouvrent des ateliers de tissage un peu partout en Iran.

Pendant quelques décennies, le tapis de Mashhad bénéficie d’un succès important et bat des records d’exportation. Mais sa popularité diminue à cause d’un excès de polissage, affinant le tapis au point d’en diminuer la solidité et la qualité.

De plus, à l’apogée de sa popularité, ce tapis n’était tissé qu’avec des laines très délicates. Les motifs shâh abbâssi, lachak, toranj et gol farang étaient utilisés, adaptés au style mashhadi avec notamment de grosses fleurs d’ornementation.

Les tapis de Mashhad ont toujours été tissés autant avec le nœud turc que le persan et aujourd’hui, c’est le nœud turc qui domine.

Parmi les plus renommés de ces tapis, citons les tapis d’Amou Oghli, dénommés en l’honneur de leurs designers originels, les frères Amou-Oghli, tisserands bien connus de Mashhad, dont certaines œuvres nous sont parvenues.

Leur style se caractérise notamment par un tissage très serré (nombre de nœuds par raj), l’usage des couleurs végétales et traditionnelles, l’harmonie extraordinaire des dessins et des couleurs, le poids léger du tapis, pourtant extrêmement solide et pérenne du fait de la densité de nœuds et la grande délicatesse proprement esthétique de l’ensemble.

Les tapis de Nâïn

Nâïn, petite ville de la province d’Ispahan, est connue depuis environ un siècle pour ses tapis très fins. Avant de se lancer dans le tissage du tapis, les habitants de Nâïn étaient traditionnellement des tisseurs d’abbâ, long manteau masculin fait de fine laine de chameau.

Le tissage de tapis a replacé le tissage des manteaux de laine dans un processus plutôt rapide, dû à Mirzâ Jalâl Pirzâd qui, en 1921, ouvrit un premier atelier d’enseignement de tissage de tapis.

Pour les tisserands de Nâïn, la transition ne fut pas difficile au vu de leur savoir-faire. Au début, Nâïn n’avait pas de modèle et de dessin de tapis propre, et utilisait les modèles d’Ispahan.

Mais au fil du temps, des designers importants ont émergé, notamment les frères Habibiân, qui se sont inspirés de la nature désertique de Nâïn, ainsi que de son architecture et histoire, pour imaginer de nouveaux dessins et plans de tapis.

La famille Habibiân connut alors une renommée qui continue jusqu’à aujourd’hui, due à ses tapis au style particulier, aujourd’hui connu comme style de Nâïn.

Le tapis de Nâïn est très fin. Il a longtemps été considéré comme le plus fin des tapis persans. Son design spécifique en fait plutôt une œuvre esthétique et ornementale et moins un tapis d’usage courant.

Les motifs du tapis de Nâïn sont pourtant dénués d’originalité, avec notamment le lachak et le toranj comme motifs principaux, le shâh-abbâssi, l’eslimi, le mehrâbi etle derakhti comme motifs minoritaires.

Ce qui fait le style de Nâïn, c’est, entre autres, l’usage de fils de soie fins et aux couleurs claires qui confère à ces tapis une apparence très fine et délicate.

Les couleurs sont d’origine végétale, et ce sont les couleurs froides et foncées sur un fond crème et clair qui singularisent ce tapis, bien que l’on voie également d’autres couleurs. Le tapis de Nâïn se tisse avec le nœud persan, ajusté sur deux trames.

Les tapis de Qom

Qom est une ville religieuse, située à environ 120 km au sud de Téhéran. Elle s’est aujourd’hui fait un nom dans l’artisanat du tapis persan.

Autrefois, ses tapis n’avaient pas de réputation particulière, et cela fait environ un siècle que l’usage de laines, de soie et de dessins de tapis originaux et esthétiques a changé la donne.

Ce tapis est aujourd’hui plutôt un objet de luxe, d’ornement plutôt qu’objet courant. Cependant, malgré leur délicatesse apparente, ces tapis sont durables.

Les motifs traditionnels précédemment cités sont également largement utilisés pour le tapis de Qom, avec une préférence pour le motif shekârgâh qui, bien qu’originaire d’Ispahan, devient de plus en plus une spécialité des tapis en soie de Qom.

Les teintures naturelles, les couleurs diversifiées atteignant jusqu’à 40 teintes différentes et les nœuds persans très fins font partie des caractéristiques de ce tapis-tableau.

Les tapis de Kâshân
Des tapis de Kâshân antiques et précieux sont gardés dans les musées iraniens ou étrangers, mais cette ville autrefois célèbre pour ses tapis, comme beaucoup d’autres centres, en perdit la tradition au XIIIe siècle, suite à l’invasion moghole.

Kâshân n’a jamais retrouvé son style particulier et est souvent restée dans l’ombre des grands centres tapissiers qui l’entourent. Aujourd’hui, cette ville est l’un des producteurs de tapis tissés à la machine.

Les motifs de ces tapis sont les mêmes que les tapis faits main. Autrefois, le tapis fait main de Kâshân privilégiait le motif toranj, qui donne désormais sa place aux motifs derakhti, goldâni, lachak, mehrâbi, shekârgâh ou eslimi. Reprenant généralement des dessins de l’époque safavide, les couleurs du tapis de Kâshân sont chaudes et agréablement combinées.

Les tapis de Hamedân

La province de Hamedân est quantitativement un important centre de production.

Une bonne partie des tapis de Hamedân sont faits avec le nœud turc, du fait de l’ethnie des habitants. Mais le nœud persan n’est pas absent non plus.

Dans les zones urbaines, les motifs shâh-abbâssi et ceux de Kermân dominent. Dans les zones rurales, outre les motifs lachak et toranj, on voit le motif mâhi (poisson).

Les tapis ruraux de Hamedân sont généralement plus frustres au niveau des motifs que les tapis et les tapisseries des nomades, mais l’équilibre des couleurs et leur contraste doux leur donnent un caractère agréable et un style particulier.


Gabbeh est un film poétique iranien réalisé par Mohsen Makhmalbaf, sorti en 1996.
Il a été projeté dans la section Un Certain Regard au Festival de Cannes 1996.
Le film tire son nom d'un type de tapis persan, le gabbeh.

Synopsis

Un couple de personnes âgées marche vers la rivière afin de laver leur gabbeh. Quand le tapis est étalé sur le sol, une jeune fille, qui reçoit le nom de Gabbeh, semble surgir comme par magie d'un des motifs tissés de celui-ci.

Le film présente son histoire et celle de sa famille, entre autres de son oncle qui espère trouver une épouse, et surtout de son désir vis-à-vis d'un jeune homme avec qui elle espère se marier.
Gabbeh est un film poétique iranien réalisé par Mohsen Makhmalbaf, sorti en 1996.<br /><br />Il a été projeté dans la section Un Certain Regard au Festival de Cannes 1996.<br /><br />Le film tire son nom d'un type de tapis persan, le gabbeh.
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"Le Mystère Dévoilé : Nouvelle Révélation de la Semaine"
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